Depuis Descartes et l’avènement de la science moderne, nous avons construit logiquement un futur collectif matérialiste sans issue viable, car il est issu de 3 siècles de pensées et dogmes erronés.

Depuis les Lumières, la science nous a fait croire, que tout dans la nature est mécanique, que tout est matière et que tout ce qui arrive dans notre présent est parfaitement déterminé par des lois physiques, que par conséquent les effets suivent les causes et jamais l’inverse (le déterminisme).

Quant au “hasard”, dont on ne comprend pas grand-chose à l’époque, il fait office de plâtre ou peinture pour tenter de maintenir la propreté d’un ensemble bancal que nous savons, aujourd’hui, être faux.

Car depuis, la mécanique quantique entre autres a remis en question les dogmes de la science, dont seule la théorie hallucinante d’un multivers aux myriades de doubles de nous-mêmes, tout à la fois conscients et prisonniers d’un seul univers, permet encore de maintenir en cohérence.

Depuis une quarantaine d’années, nous disposons des preuves irréfutables que la matière n’existe pas (comme nous l’entendons), que le vide est plein d’informations, que le hasard véhicule un sens et qu’il existe des informations hors espace-temps qui jouent un rôle considérable pour orienter notre futur.

Mais surtout, nous savons dorénavant que la réalité est indéterministe à toutes les échelles, y compris humaine, et que le vide, via la conscience, agit de manière considérable sur tout ce qui arrive.